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 J U D I T H | black holes and expectations

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Mar 18 Aoû - 22:59

Col. Judith Jefferson
ft Zoé Kravitz
Optimiste
Inventive
Passionnée
Audacieuse
Franche
Loyale
Impulsive
Obstinée
Colérique
Méticuleuse

Caractère & Physique
Sa mère dirait que c’est une bonne chrétienne et son père une gentille fille. Une bonne personne à n’en pas douter.  Élevée méthodiste, elle est très religieuse, sans jamais tomber dans le créationnisme ou la bigoterie. Elle garde sa religion pour elle, et accepte sans problème que les autres puissent croire en d’autres choses. Ses prières ne ressortent que face à la mort. Sa foi lui sert de compas moral. La pitié, la charité, l’entre-aide ont été les valeurs que ses parents lui ont transmis. Améliorer la vie des autres, réduire leur douleur, sont deux des buts qu’elle poursuit. Ce qui la met parfois face à des décisions douloureuses lorsque son commandement lui refuse de venir en aide à un peuple autochtone afin de poursuivre sa mission.
Peu des hommes avec qui elle travaille sont au courant de ses croyances spirituelles. Elle est avant tout connue pour son esprit pionnier. Elle aime repousser les limites du monde connu, mais aussi les siennes. Deux choses la motivent comme jamais : découvrir une technologie extra-terrestre, ou que quelqu’un lui dise qu’elle ne peut pas faire quelque chose. Elle a un certain côté geek que tout le monde connaît. Elle dessine des schémas dans tous les supports (calepins, serviettes en papier du self, dans la terre, dans la poussière d’une ruine, sur un mur avec du charbon…), et est capable de s’approprier des appareils nouveaux à une vitesse remarquable. Comme une enfant à noël avec un nouveau jouet.
Elle a un brin de compétitivité en elle, et mauvaise perdante, elle peut s’avérer colérique voire violente si elle n’est pas satisfaite de ses résultats ou de ceux des autres. Mais l’armée lui a donné cadre et discipline. Face à un supérieur, elle revient facilement dans les rangs. Loyale avant tout, elle n’a jamais désobéi à un ordre direct, même quand ceux-ci étaient en contradiction avec ses propres convictions.

Physiquement, Judith est assez grande, mais fluette. Ses os demandent des vêtements appropriés à sa taille, mais elle n’a pas assez de matière pour les remplir. Elle a tendance à nager un peu dans son uniforme. Elle fait pourtant suffisamment d’exercice pour développer ses muscles, mais ceux-ci semblent refuser de prendre du volume. Sans être faible, ses hommes la surpassent aisément en force, mais oublient pertinemment de le lui rappeler. Plate et rectiligne, elle est suffisamment androgyne pour ne pas gêner ses camarades de l’armée. Pour les fameux « obus », il faudra repasser. Elle n'a même pas besoin de soutien-gorge. Même sa voix est loin d’être féminine. La cigarette lui a donné un timbre velouté plutôt grave, et si son éducation lui a appris à ne jamais blasphémer, elle jure sans fin dès qu’un appareil lui donne un peu de fil à retordre.
Petits plus

• Particularités : Sur son avant-bras gauche, comme une anti-sèche, le nombre des sept chevrons ramenant à la terre. Ils se présentent comme des coordonnées, pour plus de discrétion: 24°28'18''N 35°12'7''E  Plusieurs cicatrices : à la clavicule droite et à gauche de son nombril, là où des débris ont brisé ses os et perforé sa peau. Mais les médecins ont fait du beau boulot, et on devine à peine de fines lignes plus pâles que son teint naturel.
• Objets personnel : Une photo de sa famille (où figurent sa mère, son père, son frère, et le chien familial, Chewie), la médaille de son baptême, et dès qu'elle le peut, des cigarettes.
• Inventaire de départ : Fusil d'assaut et une lance serpent qu'elle garde dans un baudrier en bandoulière dans son dos. Lunette de vision nocturne et fumigène. Uniforme militaire du SGC.
• Groupe sanguin : AB+
• Gène Lantien : A sa grande surprise, oui.
• Maladies : Elle est sujette aux migraines assez fréquemment, mais a appris à tolérer cette douleur récurrente. Elle devient alors simplement encore plus irritable et colérique que d'habitude.
33 ans
Militaire
Hétérosexuelle
Ingénieure
Américaine
Célibataire
Mon histoire
Judith est née et a grandit dans le Maine, à la frontière du Canada et des Etats-Unis. Sa mère était infirmière et son père, entre de nombreuses périodes sans emploi, était tour à tour homme de sécurité, personnel d’entretien, livreur, puis chauffeur de bus. Avec leurs trois enfants, les fins de mois étaient compliquées. Les Jeffersons finissaient souvent l’hiver sans chauffage, et leurs enfants avaient rarement des affaires neuves pour la rentrée. Judith portait la plupart du temps les vieux vêtements de son grand-frère, et les filles de son école se moquaient souvent d’elle parce qu’elle ressemblait tant à un garçon, malgré ses longues tresses noires. Mais l’amour que lui donnaient ses parents et ses frères lui permirent de ne jamais douter d’elle-même, et les liens familiaux étaient si solides qu’ils lui permirent de développer une forte indépendance face à la cruauté des autres.

Malgré tout ce dont ils manquaient, leurs parents leur apprirent le sens du don et de l’entre-aide. A chaque Thanksgiving, ils se rendaient à la soupe populaire : les mauvaises années pour y manger, les bonnes années pour aider ceux plus pauvres encore qu’eux. A voir leurs parents travailler si dur pour si peu, les enfants développèrent  le goût de l’effort, et Judith se mit à réagir très violemment aux injustices. Aux abords de son adolescence, et malgré les remontrances de son père et de son grand-frère, Judith devint agressive, fréquemment au cœur de bagarres à l’école. Alors qu’elle rentrait au lycée, son frère en ressortait, son diplôme en poche, mais tous savaient que malgré son talent, c’était là la fin des études pour lui. Leurs parents étaient déjà sévèrement endettés par les problèmes de santé de leur père, et n’avaient en aucun cas les moyens de lui payer des études. Toutes les bourses lui passèrent sous le nez, allant à d’autres étudiants. Alors que commençaient ses difficultés à trouver un travail, des militaires en bel uniforme brillants de médailles les accostèrent dans la rue. Ils étaient là pour informer les jeunes du quartier des possibilités que pouvaient leur offrir l’armée. Contre quelques années de service militaire, l’armée pouvait leur donner accès à des études, des diplômes, sans un sou de la part de leurs parents. Une récompense de la patrie en échange de leur don de soi. Ils pouvaient devenir pilotes, médecins, mécaniciens, informaticiens… les opportunités étaient nombreuses. Leur père, cependant, s’y opposa formellement. Il refusait de voir ses enfants partir à la guerre au risque d’y mourir, parce que lui ne pouvait pas leur payer d’études. L’armée n’avait qu’à recruter des gens patriotiques et non dans le besoin. Pour Judith cependant, cela n’était que la suite logique à l’éducation qu’ils avaient reçue : le don de soi. D’abord son grand-frère, puis elle à la sortie du lycée, s’engagèrent dans l’armée, et se fâchèrent définitivement avec leur père. Partie sur une dispute, il n’accepta aucun de ses appels téléphoniques, ne répondit à aucune de ses lettres. Judith avait des nouvelles de lui par sa mère. Ses problèmes de santé s’aggravaient. Elle la suppliait de quitter l’armée pour se réconcilier avec son père avant qu’il ne soit trop tard. Mais Judith progressait bien trop et refusait d’arrêter d’apprendre. Elle était persuadée qu’une fois devenue mécanicienne, voire ingénieure si elle y parvenait, son père verrait qu’elle et son grand-frère avaient fait le bon choix. Elle ne lui parla pas du bizutage ni du sexisme qu’elle affrontait, ni des doutes qu’elle entretenait quant à la présence de l’armée en Afghanistan ou en Irak.

Elle ne reparla jamais à son père. Lorsque celui-ci mourut, Judith et son grand-frère eurent une permission pour se rendre à son enterrement. Ils eurent un accueil glacial. Leur mère et petite sœur ne leur pardonnaient pas ce qu’ils percevaient comme une trahison de leur père, qui était mort en s’accrochant à ses regrets. Judith non plus ne se le pardonna jamais.
Elle s’élança de plus belle dans ses études militaires, passant les grades de sergent, lieutenant, puis de capitaine. Elle fût rapatriée sur le sol américain, où elle se concentra sur le développement technologique de l’armement des États-Unis, rappelée parfois sur le terrain pour prêter main forte lors de catastrophes naturelles ou d’attentats.

Un jour, son supérieur la convoqua à une rencontre d’un colonel intéressé par son travail. On ne lui dit pas grand-chose sur sa prochaine affectation, car elle prendrait part à un projet top secret, mais on lui parla d’expansion spéciale, de recherches technologiques, de découverte à travers les étoiles. Jamais Judith n’aurait cru pouvoir travailler pour la NASA. Elle voulu appeler sa mère, mais celle-ci ne décrocha pas. Lorsqu’elle envoya une lettre, celle-ci lui revint indiquée « inconnu à cette adresse ». Morte d’inquiétude, se demandant si elle n’avait pas perdu son deuxième parent, Judith appela sa petite-soeur, qui lui adressa suffisamment la parole pour daigner la rassurer. Sa mère avait déménagé sans lui indiquer ses nouvelles coordonnées. Sa petite-soeur refusa de les lui donner, lui intimant de laisser leur mère tranquille et de ne plus la faire souffrir, avant de raccrocher. Lorsqu’elle appela son grand-frère, Judith trouva enfin la joie et le soutien qu’elle recherchait. Lui aussi s’inquiétait pour leur mère, mais à deux, ils formaient encore une sorte de famille. Il lui souhaita bonne chance, et lui demanda de lui écrire souvent.

Judith partit enfin pour le Colorado, mais ce n’était pas la NASA qui l’attendait. Tous ses rêves les plus fous de découverte de vie extra-terrestre ou de construction de navettes spatiales furent de loin dépassés lorsque Judith apprit l’existence du Stargate Command, SGC. Son premier jour, elle passa toutes les heures de son temps libre dans la salle de lancement à observer la Porte des Étoiles, à deviner son fonctionnement, à observer les chevrons s’enclencher, l’iris de défense se rétracter… Elle passa plusieurs mois d’entraînement à tout apprendre sur les Goa’Uld et leurs types d’armes, sur les différentes procédures et règles de sécurités face à différentes espèces, et sur les protocoles à suivre quant aux traversées de la Porte des Étoiles. (Judith mit un an avant de ne plus ressentir ce frisson d’excitation à la simple mention de la Porte).  A la fin de son entraînement, elle fût assignée à l’équipe SG-14. Judith ne se lassa jamais de découvrir de nouvelles planètes, de nouveaux peuples, de nouvelles technologies. Malgré le danger, malgré les risques, malgré les ennemis, elle se donnait corps et âme à son nouveau monde, abandonnant enfin le souvenir culpabilisant de ses parents dans le monde extérieur. C’était sans doute une fuite en avant, mais une fuite dans laquelle elle s’élança pleinement. Sous les directives du Major Carter, Judith fit partie d’une équipe travaillant sur les exploitations possibles du naquadah. Elle apprit tout ce qu’elle pu sur la technologie des Asgards au fur et à mesure que les différentes équipes SG, dont celle dont elle était membre, en ramenait. Elle développa une véritable passion pour les cristaux énergétiques, dans lesquels elle devint experte. Elle travailla en partenariat avec les To’kras et observa attentivement les Noxs qu’elle ne parvint jamais réellement à cerner. Mission après mission, Judith trouva une seconde famille auprès des membres du SGC et tout particulièrement ses coéquipiers de SG-14. Elle ne s’attendait pas à bientôt tous les perdre au cours d’une seule mission.

Le SGC était sur la piste d’une nouvelle source d’énergie, aussi puissante que le naquadah, sinon plus. Alors que SG-14 touchait à la fin de la mission, découvrant un indice capital qui les mèneraient sans doute à la source d’énergie, juste après avoir fait leur rapport par radio au SGC, l’équipe entière se retrouva cernée et capturée par les Goa’Uld. Une embuscade, les Goa-Uld étant à la recherche de la même énergie. Ils semblaient avoir attendu que SG14 n’obtienne l’indice, avant de fondre sur eux et de le tirer de ses membres, de gré ou de force.
Les membres de l’équipes firent honneur à leur race, tenant la torture, gardant leur secret. Lorsque vint son tour d’être torturée, Judith eut l’horreur de découvrir le seigneur goa’uld qui s’était emparé d’eux : son nom était Taranis, mais il avait pour hôte nul autre que le major Kane, porté disparu depuis plusieurs années. Impuissant, entièrement à la merci du parasite qui avait prit possession de lui. Un à un, les membres de SG-14 mourraient sous la torture, avant de reprendre vie grâce au sarcophage. Peu à peu, leur personnalité s’effaçait, un peu plus à chaque résurrection. Judith également. Elle ne fut sauvée que par chance.
Aux abords d’une énième torture, Judith choisit de délibérément jouer le légume, feignant la folie qui s’était déjà emparrrée de ses co-équipiers, faisant baisser leur garde aux jaffas qui l’amenaient à Taranis. Alors qu’elle était sur le point d’être immobilisée, elle rassembla toute ses forces pour déséquilibrer l’un des jaffas, s’emparer de sa lance et se battre. Elle aurait été abattue, si le major Kane n’avait pas choisit ce moment pour reprendre le contrôle sur son corps, l’espace de quelques secondes, et l’aider à abattre les jaffas restants. Alors que Taranis faisait sa réapparition, Judith était déjà loin dans les couloirs du vaisseau, et jouait de sa connaissance des cristaux pour saboter un à un les systèmes goa-uld et les retourner contre ses ravisseurs. Armée de sa lance et de ses connaissances, elle libéra les membres de son équipe, parvint à les amener jusqu’à une navette de secours et à les faire s’évader du vaisseau. Un signal de détresse amena une planète proche à les secourir, puis à contacter le SGC pour qu’une équipe vienne les ramener sur Terre.

Les membres de SG-14 furent définitivement jugés inapte au combat. Judith, quant à elle, fût promue major. Elle était parvenue à s’évader d’un vaisseau Goa’Uld, avait fait de son mieux pour sauver son équipe, et grâce à elle, le SGC savait enfin ce qu’il était advenu d’Arthur Kane.
Dès qu’elle sortit de l’hôpital, Judith voulu appeler son grand-frère. On l’informa alors que celui-ci avait voulu la joindre alors qu’elle et SG-14 avaient été prisonniers. Sa mère s’était endormie un mois plus tôt, et ne s’était pas réveillée. Elle avait été inhumée une semaine avant que Judith ne parvienne à s’échapper. L’armée avait donné un prétexte à son absence, une expédition en antarctique dont il était impossible de l’extraire. Il fallait qu’elle en tienne désormais compte dans ses échanges avec les proches qui lui restait. Sa petite-sœur, entretenant la rancune familiale, ne voulu pas lui parler. Mais cette fois, même son grand-frère eût un ton dur avec elle, n’acceptant pas son absence aux funérailles de leur mère. Judith fit de son mieux pour recoller les morceaux, sans grands résultats.

Malgré les médailles, de longues semaines de convalescence en suivirent. Les passages successifs dans le sarcophages avaient laissé des séquelles dans son esprit. Elle avait du mal à fixer son attention, sa perception du temps était déformée, et un stress post traumatique lui avait été diagnostiqué. On ne la réassigna pas à une autre équipe, la laissant travailler au laboratoire du SGC lorsqu’elle n’était pas occupée à ses heures de psychothérapie. Judith prit plaisir à travailler de nouveau avec le Major Carter, qui se montra très patiente et compréhensive avec elle, mais c’est une discussion courte avec le Colonel O’Neill qui la réconforta le plus. Lui aussi avait subi le même genre de torture, avec Baal. Et il était toujours à la tête de son équipe, sur le terrain avec SG-1. Il lui assura avec un sourire que cela passerait, lui donnant un peu d’espoir, avant de s’éclipser.

Cela demanda du temps, et beaucoup d’heures de thérapie, mais en fin de compte, le Colonel O’Neill avait eu raison. On l’assigna à SG-18, pour de simples missions de reconnaissance ne devant pas entraîner de difficultés particulières. Judith fût rapidement soulagée de constater qu’elle pouvait désormais parfaitement contrôler ses crises d’angoisses, de plus en plus rares. Elle ne perdait plus la notion du temps, et être sur le terrain semblait lui avoir rendu toutes ses facultés de concentration. Elle eut plus de mal à convaincre ses nouveaux coéquipiers, cependant. Cette nouvelle équipe avait moins d’expérience qu’elle, et il lui était parfois difficile de ne pas contre-dire son supérieur. Deux des membres de l’équipe la traitaient encore comme une personne déséquilibrée, et aucun ne semblait lui avoir pardonné d’être la seule de son ancienne équipe à s’en être remise. Il leur fallu longtemps pour qu’ils commencent à lui faire confiance, et jamais Judith ne retrouva ce sentiment d’appartenance familiale qu’elle avait trouvé avec son ancienne équipe.

Quelques années passèrent. Entre les missions, Judith rendait visite à ses anciens co-équipiers, ou à leur enveloppe vide, leur esprit toujours perdu quelque part sur un vaisseau Goa’Uld dans la galaxie. Elle gardait un lien ténu avec son grand-frère. Au SGC et lors de ses missions, Judith se dédiait à l’étude des technologies des Anciens, dont elle avait le gène. Cela lui était non seulement utile, mais lui valu enfin le respect et la reconnaissance de son équipe. Un jour, une toute nouvelle découverte enclencha une mission encore jamais tentée : voyager dans une autre galaxie, à l’aide d’un huitième chevron. Judith se porta volontaire sans hésiter. Maintenant qu’elle se sentait assurée d’avoir recouvert toutes ses facultés, elle ne pouvait résister à un nouveau défi. Pour cette expédition, O’Neill, désormais devenu général, lui réservait une dernière surprise. « On va vous faire colonel, vous aurez votre propre équipe. » Judith n’en revenait pas. Elle n’avait pas montré de fait d’armes particulièrement marquants, rien qui ne vaille une promotion à ses yeux. « C’était une erreur de vous réassigner dans une autre équipe sans vous mettre à sa tête. » continua O’Neill. « Vous en saviez plus que votre colonel, et ne pas vous donner cette autorité vous a défavorisé auprès de vos coéquipiers. C’est une erreur de mes prédécesseurs que je ne compte pas reproduire. » « Merci mon général. »  « Vous n’êtes pas la seule à bénéficier d’une promotion à l’occasion de l’expédition Aurora. Une vieille connaissance à vous en sera à la direction. Le Général Kane. » « Arthur Kane ? » « Lui-même. Est-ce que ce sera un problème ? » Le général O’Neill l’observait d’un regard perçant. Il savait des mains de qui elle avait été torturée. Il connaissait personnellement les résultats de cette torture. Sans doute s’attendait-il à ce qu’elle fasse preuve du même outrage que si on lui avait demander de servir aux ordres de Baal lui-même. Mais Judith avait depuis longtemps fait la différence entre Taranis et Arthur Kane. Le premier l’avait torturée. Le second était celui qui l’avait aidée à s’enfuir. Elle était ravie de savoir qu’il s’en était sorti, et qu’il était lui aussi de retour sur le terrain. « Non, mon général. » Au contraire, ce sera un plaisir.

Derrière l'écran
Salut je suis Ellcrys et j'ai 30 ans. J'ai découvert le forum grâce au top-site, je regarde toujours les derniers inscrits pour découvrir de nouveaux forums.. Je suis un inventé. J'en profite pour dire que j'autorise le staff à faire mourir mon personnage inventé si je venais à quitter le forum, et même si je le quitte pas! Si jamais ça fait avancer une intrigue, je recréée un perso sans problèmes. On est 166 dans ma tête. Je serai présent à peu près toutes les semaines et je tiens à dire que le forum est super original !
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Arthur Kane
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Mar 18 Aoû - 23:02

Bienvenue par ici ♥ j'ai hâte de lire ta fiche que tu as 2 semaines pour terminer. En cas de questions le staff est là n'hésite sur tout pas ♥
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Aurélie Chartier
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Mar 18 Aoû - 23:09

Bienvenue dans le coin
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Mar 18 Aoû - 23:46

Merci à vous deux!!!

Vivement les RPs dans la base! :happy:
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Mer 19 Aoû - 9:41

Bienvenue :)
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Zoé Derbyshire
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Mer 19 Aoû - 10:37

Bienvenue ! :D

C'est pas un peu dangereux pour la sécurité de la Terre d'avoir ses coordonnées de tatouées ? :mdr:
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Mer 19 Aoû - 11:40

Bienvenue sur le forum ** ! Très joli choix de vava !
Je suis curieuse de découvrir ce que tu vas faire de ce personnage XD si jamais tu as besoin d'aide, tu peux nous trouver sur le discord ou nous mp ou en nous citant avec @Arthur Kane
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Invité
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Mer 19 Aoû - 12:17

Merci à vous trois!!!  :happy: Je bingewatch Atlantis depuis hier, ça m'aide à me remettre dans  le bain.

Zoé Derbyshire a écrit:

C'est pas un peu dangereux pour la sécurité de la Terre d'avoir ses coordonnées de tatouées ? :mdr:
C'est pas faux, ça... L'idée c'était qu'elle ne puisse jamais l'oublier et puisse toujours rentrer quoiqu'il arrive, où que si on retrouve son corps, voire seulement son bras, on sache où le renvoyer (mais elle est optimiste, hein! :grumpy: )
J'imagine que sans son code pour passer l'iris, ça ne représenterait pas grand risque, si? ça risque d'être un problème? @Arthur Kane @Helgi? (à peine la suggestion de taguer donnée qu'elle l'utilise!)
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Arthur Kane
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Mer 19 Aoû - 12:28

En fait c'est pas dangereux ça serait dangereux si elle avait le code de l'iris de la porte du sgc :D les coordonnées ne servent à rien sans le code d'ouverture de l'iris :)
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Zoé Derbyshire
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Mer 19 Aoû - 13:28

En soit c'est une bonne idée de tatouage :) Mais je pense que même sans le code de l'iris l'armée n'autoriserait pas quelqu'un à se tatouer une donnée confidentielle qui peut tomber entre de mauvaises mains. Par exemple à la fin de stargate Atlantis la Terre est se fait attaquer par les Wraiths parce qu'ils ont capté les coordonnées de la Terre, sans le code de l'iris, mais ils viennent à bord de leurs vaisseaux pas par la porte donc seules les coordonnées suffisent
Il me semble que les coordonnées correspondent réellement à la localisation de la porte, c'est pas juste un code qui permet de l'activer
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