(Groupe Terriens) Event N°1 : Découverte

Thomas Kane

Découverte

Oui il s'agit bien d'un fauteuil de contrôle des anciens. Ce n'est pas la première fois que j'en vois un. Sur la cité d'Atlantis j'avais eu l'occasion de le voir plusieurs fois. On m'avait dit que celui utilisé par le général O'Neil, lors de la bataille contre Anubis au dessus du pôle, était identique.

Je souris à mon frère, si jusqu'à présent ma venue ne lui plaisait pas, maintenant il a peut être changer d'avis. J'entends mon frère proposer de étudier de l'analyser, je crois qui s'adresse à moi, je répond:

" Oui carrément !"

Sans attendre plus, je prend place sur le fauteuil. Dès que ma tête touche le dossier, le fauteuil s'incline, le socle et le fauteuil s'illumine et se dernier se met à tourner lentement. Je pose mes mains sur la substance gelatineuse, au bout des bras du fauteuil. Je ferme les yeux et me concentré.  Des hologramme apparaissent au dessus de moi, des plans, des consignes... Pas le temps de les étudier que tout se succède les uns aux autres.

Arthur n'a pas eu mon dossier, vu que ce n'est pas lui qui m'a recruté, donc il ne sait pas que je suis porteur du gène ATA. Maintenant il doit l'avoir compris. Grâce à lui, je peux utiliser la technologie kantienne.

Après je me redresse et regarde mon frère. Via le fauteuil j'ai réactivé toutes les lumières de la base, on voit enfin clairement tout les lieux:

" C'est une base souterraine sur plusieurs niveaux, j'ai eu accès au plan d'une partie de la structure. Je sais où se trouve l'infirmerie et le réfectoire."

Pour savoir où se situe le réfectoir est une bonne chose. Je regarde mon frère, je sais que lui et moi on va devoir une grande discussion, je pense que ce qu'il vient de découvrir à mon sujet lui amène des interrogations.

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Holy crap! C’était le grand jour et la fille Breckman n’était pas exactement nerveuse, ni excitée, ni même inquiète de ce qu’il allait advenir après ce saut dans l’inconnu – elle était juste dans une belle saloperie de mélange de tout à la fois. Puis elle avait un peu trop chaud. La faute revenait sans doute à son sens aigu de l’optimisation, qui n’avait pas pu s’empêcher de voir dans les règles absurdement rigides que les institutions militaires imposaient au civil un défi à relever. Devant le peu de résistance rencontré quand elle avait proposé comme « effet personnel » un disque dur contenant l’entièreté de ses données personnelles (et bien plus encore), elle avait poussé sa chance en interprétant un peu trop littéralement l’instruction de ne prendre que ce qu’on pouvait porter sur soi.

Ç’avait été drôle pourtant, à la base, de tenter les combinaisons les plus improbables jusqu’à dénicher la plus optimale, avec jusqu’à six couches de vêtements superposées au niveau du tronc. Même dans ce drôle de complexe souterrain, genre la zone 51 mais dans le trou du cul des Rocheuses, elle avait pris un plaisir coupable à répondre aux regards interloqués par un sourire malicieux. Elle devait bien admettre que la station debout devenait de plus en plus pénible, à attendre que ce soit au tour de son groupe de passer la mystérieuse porte, mais elle restait digne en attendant avec impatience l’autre côté.

Par chance il y faisait plutôt frais, limite glacial pour être exact. Elle le sentait au picotement sur son visage, qui contrastait douloureusement avec les gouttelettes de sueur qui se formaient autour de ses épaules. Elle aurait presque pu se vanter d’être mieux équipée que la moyenne, si ses couches n’étaient pas si inégalement réparties.

La lumière était revenue, mais pas exactement la fin de leurs problèmes. Elle ne s’y connaissait pas trop en exploration extragalactique, mais ça craignait quand même un peu d’être coincé dans des ruines bizarres, avec la porte d’entrée qui avait claqué toute seule derrière eux. Enfin le générateur qui tenait la porte ouverte, mais à ce niveau de Ta-Gueule-C’est-Archéotechnologique elle doutait qu’une manipulation manuelle soit envisageable. Ses parents étaient des héros interstellaires, mais elle on ne lui avait même pas laissé de l’airsoft pour donner le change. Elle pouvait certes comme Lexa, la fille du général Kane, prêter main forte au personnel médical pour trier leur matériel, mais c’était qu’ils commençaient à être nombreux autour de ces caisses, ils allaient finir par se gêner. Puis, même si elle avait passé son brevet de premier secours, les médocs n’étaient pas trop sa spécialité.

À défaut de pouvoir se porter volontaire pour l’exploration (elle se doutait d’avance de l’accueil qu’on réserverait à sa candidature !), elle se dirigea vers ce qui était de son point de vue le seul réel point d’intérêt de leur zone d’arrivée : la grosse machine bizarre au nom imprononçable qui leur avait claqué entre les doigts et la fourmilière d’ingénieurs surdiplômés qui l’assiégeait.

« Je peux vous aider d’une façon ou d’une autre ? se risqua-t-elle. J’ai p’têt pas votre bagage technique mais j’ai deux mains et je sais me servir d’à peu près tous les outils conventionnels, alors si je peux vous être utile… »

Même si c’était juste pour distribuer les perceuses ou y installer les mèches adéquates, c’était déjà moins chiant que de rester les bras croisés au milieu de ce bazar.

Spoiler:

Beaucoup de gens autour d’elle son nerveux, elle ne l’est pas vraiment peut-être est-ce parce qu’elle a dévoré les rapports de missions concernant Atlantis, enfin ceux qu’on lui avait permis de lire bien évidement. Quand elle était gosse elle rêvait d’aller sur Mars, elle envisageait des voyages sans retour, elle c’était déjà préparé mentalement à ce genre de situation toute sa vie, elle était sereine. Ils trouveraient une solution et même s’ils n’en trouvaient pas ils avaient tant à découvrir. Hana était toute excitée, mais son calme olympien prédominait en apparence. Elle n’était pas du genre à dévoiler aussi facilement ses émotions. Arthur s’approcha d’elle, Hana peut encline aux grands sourires lui en offrit pourtant un, elle appréciait l’homme et l’admirait quelque part. C’était un ami de son mari.

- Moi aussi je suis contente que se soit vous Général qui ait la charge de cette mission. Daniel aurait eu trop la tête dans les étoiles, plaisanta-t-elle.

Elle aimait son mari de toute ses forces, mais il n’était pas un leadeur né il fallait l’admettre. Arthur reçu alors une communication de son frère, l’eurasienne se tut pour le laisser parler. Elle avait fait partie de la même équipe que Thomas Kane, c’était un ami, mais il était parfois impulsif alors quand Arthur lui proposa de la suivre, son frère avait trouvé quelque chose.

- Prenons un ingénieur avec nous. Je vous laisse ma fille, dit-elle à son équipe de mécano et aux ingénieurs A plus tard ma chérie.

Elle embrassa sa puce sur le front et suivit le Général Kane. Ils finirent par retrouver Thomas qui avait trouvé un fauteuil de contrôle ancien et alors que son général lui ordonnait d’examiner la bête avec l’ingénieur qu’elle avait amené Thomas toujours aussi impulsif s’installa sur le siège.

- Jésus, Marie, Joseph êtes-vous cinglé ? s’étouffa à moitié la mécanicienne le voyant piétiner tous les protocoles les plus basiques de sécurité. Vous avez de la chance que ce siège ne vous ait pas électrocuté ou pire ? Il aurait pu être abîmé par le temps ou par autre chose vous n’en saviez rien ! Général Arthur je vous supplie de lui ordonner de descendre pour me laisser faire mon boulot. Laissez-moi juste 5 minutes faire un check-up rapide après il pourra remonter dessus.

Tout le monde était bien arrivée sur la base, notre nouvelle maison. Notre E2PZ, du moins celui qui assure un passage entre la Terre et notre nouveau lieu d'habitation est subitement en train de vaciller, et finalement, ce qui devait finir par arrivée arriva rapidement. C'est la poisse. Plus personne ne devait franchir le Vortex. Puis, ce dernier ce coupa rapidement, aucun moyen de recontacter la Terre, c'est bien notre veine. Maintenant que nous ne pouvons plus faire machine arrière, il fallait s'assurer que tout le monde se porte bien. Pour mon premier passage à travers la porte des étoiles, c'est un gros bordel.

*Putain maintenant c'est impossible de recontacter la Terre.*

Le médecin de la base, voulait s'assurer que tout le monde se porte bien, même moi je n'échappe pas à cette règle. Je vois d'autres personnes partir explorer la base, je suis donc le mouvement, et j'arrive dans une pièce ou se trouve le fauteuil des anciens, le même qu'il y avait au pôle sud. Je voit l'un de mes collègues s'asseoir dessus, il s'allume, et je voit pleins de plan des lieux, super.

Il y a d'autres personnes qui viennent d'arrivée, une fille qui se nomme Hanna parle à une autre fille, j'ai si souvent entendu parler de Daniel Jackson, et de SG-1.

"Vous avez raison, Daniel serait comme un gosse qui ouvre les cadeaux de Noël."

Je me dirige vers les deux jeunes femmes qui discutent tranquillement, puis, je leur répond sans ménagement.

"Bonjour à vous jeune femme. Je me nomme Aurélie Chartier, je suis une militaire avec le grade de Cadet, pouvez vous me redire vos nom & prénom s'il vous plaît, je ne me souvient plus de vos noms respectifs."

J'attend une réponse de la part de mes deux interlocutrice. Je me demande ce qui va arrivée par la suite. De toute façon, je ne pense pas rester indéfiniment dans la base, à un moment donner, j'irais sans doute explorer la planète.

Quand tout à coup, une violente secousse se fait entendre dans la base, et zut alors. Je comprend rapidement qu'il s'agit d'un tremblement de terre. Ce tremblement de terre, est très puissant. Je constate rapidement qu'il y a des blesses, qui sont rapidement conduit vers la porte des étoiles.

Spoiler:

Thomas Kane

Découverte

Mon frère ne semble pas surpris plus que ça, que je puisse active ce maudit fauteuil, le fait que je possède le gêne des anciens ne lui fait ni chaud ni froid. Il est pas content de mon intervention sur le fauteuil, il prend ça pour de l'imprudence et de l'inconscience, mais je sais ce que je fait, je suis sûr que je risquais rien de plus grâce à cela, les lumière sont allumés maintenant. Alors que mon frère parle la terre tremble sous nos pieds, il me dit qu'il espère que je sois pas en cause, normalement j'y suis pour rien, mais bon les lieux sont loin d'être de toutes première fraicheur.

Arthur reçut un appel radio qui demande de revenir  d'urgence dans la salle de la porte, étant juste à côté de lui je ne rate rien de la demande inquiète de la personne à l'autre bout. C'est au pas qu'on rejoint la salle d'embarquement pour voir ce qui se passe exactement. le capitaine Tyler nous dit qu'u couloir c'est écroulé en peine exploration, Arthur dit à Silver de choisir ses hommes pour condamner les endroit trop dangereux, évidemment j'en fait partie; je m'apprête a effectuer ma mission, quand j'entend le docteur qu'il d'une victime qui passera pas l'heure. J'ai un pressentiment et mon sang se glace.

Je m'approche de la couchette que je n'avais pas vu dans un coin de la pièce, et ma crainte se réalise, je me jette au pied du lit et prend la main de la personne dans la mienne:

" Marie, répond moi, seigneur pas elle "

Mes yeux ne pleure pas, mais ils s'humidifient. Le lieutenant Marie Foster, n'est pas qu'une collègue et une subordonné en ce qui me concerne, c'est celle que j'aime, celle avec qui j'avais prévu de passer ma vie sur terre ou ici :

" Capitaine Kane reprenez vous, c'est les risques du métier. Vous n'allez  vous apitoyer sur tout les hommes qui vont perdre la vie, vous avez une mission."
" Silver, êtes vous vraiment si aveugle et sans cœur que ça ?"
" C'est mon colonel ou monsieur, capitaine. Et si nous étions sur terre je demanderais une cour martial, pour fraternisation ! Ce que l'armée interdit, alors reprenez vous !"

Je ne relève pas cette dernière remarque, oui j'ai enfreins une règle de l'armée, mais l'amour ne se commande pas, et notre relation n'influe pas sur mon travail, c'est la voix brisée que je demande:

" Général Kane, permettez moi de rester au près d'elle et de décliner la mission auquel le colonel Silver m'a affecté"

Puis regardant avec force mon frère, lui qui a perdue sa femme est bien placé pour savoir ce que je ressens./color]

"Arthur s'il te plaît,puis vers le docteur, et l'enfant, pouvez vous la sauver, Ma... le lieutenant Foster porte un enfant ?"

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Mais Maman ! croyait-elle que sa fille avait encore cinq ans, pour la faire babysitter de la sorte par son équipe technique ? Elle proposait vraiment d’aider, pas juste de jouer à la dînette version huile de moteur ! Levant les yeux au ciel pour retenir un soupir de protestation, Othilia dut bien accepter le patronage de sa mère pour intégrer l’équipe de réparation du… truc PZ, avec au moins la satisfaction que personne n’avait l’air de la lui refuser, même après que le lieutenant Breckman ait suivi le général Kane pour une mission de reconnaissance. À défaut de s’y connaître en artefact alien elle savait reconnaître et manipuler la plupart des outils que les techniciens lui réclamaient et se révélait être une petite main des plus efficaces pour les tâches simples, leur libérant du temps pour monitorer les tentatives de réparation dans toute leur complexité.

Ça ne se passait pas trop mal quand tout d’un coup, sans prévenir, les lumières recommencèrent à se la jouer disco, avec effet tectonique en prime ! Alors oui, bien sûr, ça faisait du remous dans les groupes autour de la porte, encore plus quand un écho annonça l’arrivée imminente de blessés. Très froidement, dans un réflexe de pure logique, la jeune fille songea que ça ne devait pas être si étonnant que cela, après une secousse dans des souterrains. Elle mit une seconde à relever la tête, aux aguets, pour se rappeler qu’elle ne savait pas exactement où se trouvaient ses parents, mais que ça pouvait tout aussi bien être l’un d’eux qu’on ramenait à bout de bras.

Laissant momentanément de côté sa tâche actuelle, la jeune Breckman se fraya un chemin jusqu’aux blessés, gardant juste assez de distance pour ne pas gêner les secours autour de leur lit de fortune. Il lui devint vite évident qu’il ne s’agissait d’aucun de ses proches, mais la proximité des victimes, le verdict terrifiant du médecin, la supplication d’un militaire au chevet d’une condamnée… tout cela rendit tout d’un coup l’évènement beaucoup plus réel à ses yeux. Ils devaient tenter quelque chose.

« Madame la doc, vous avez besoin de quoi au juste ? intervint-elle spontanément. On est beaucoup à être coincés ici, avec les explorations suspendues, je suis sûre qu’on peut vous monter un hôpital de fortune en un rien de temps, vous le dites et on le fait ! Tous ensemble doit y avoir moyen, non ? »

En tout cas ça ne coûtait rien d’essayer, de son humble avis d’adolescente volontaire, quand la vie de cette pauvre militaire était en jeu.

Spoiler:

Hana vit sa fille faire la grimace, mais peu importe elle était une mère c’était ainsi elle lui fouterait toujours un peu la honte, au moins elle ne partirait pas. La sienne était probablement vivante quelques part, elle avait probablement une nouvelle famille, elle l’avait simplement abandonné. Arthur la rejoint et lui proposa de venir avec lui elle accepta et blagua. Une collègue la prit au mot.

- Je parlais de Dan mon mari, mais Daniel Jackson ça aurait été drôle aussi, euh non en fait, désolée je ne sais pas faire de blague…

Un peu rouge elle s’enfuit elle était particulièrement nulle pour les blagues. Quand elle vit le frère d’Arthur sur le siège elle crissa un peu. Heureusement Arthur l’appuya parce qu’elle aurait crié au népotisme, enfin façon de parler vu qu’Arthur était le plus haut gradé elle n’aurait eu personne à qui s’en plaindre. Et puis d’un seul coup les lumières s’éteignent le tout accompagné d’un tremblement inquiétant. Arthur dans un geste galant tente de la protéger, ce qui l’agace un peu en tant que féministe, mais elle ne va pas râler là alors que l’heure est grave. Elle lance un regard noir à Thomas, il a beau être son ami, c’est peut-être sa faute ce coup-là, il doit arrêter d’être si impulsif. Retour en salle de la porte. Elle cherche sa tête blonde du regard en premier et la voit parfaitement en un seul morceau et en sécurité, elle soupire de soulagement. Elle chercher Daniel et il la rejoint cherchant lui aussi leur fille, il a la même réaction qu’elle lorsqu’il la voit. Il dépose un baiser sur son front très bref et se rapproche de la discussion. Si Hana comprend bien Thomas sortait avec une de ses collègues militaires en secret et elle était mourante, un drame… Elle voit Daniel prêt à parler, elle n’a pas le temps de l’en empêcher.

- Collonel Silver j’ai le même grade que vous alors permettez-moi d’exprimer mon opinion. Je souhaite que le capitaine reste auprès de Marie, je ne veux pas d’un traumatisme plus profond qu’il ne pourrait l’être, Capitaine Kane payera le pris de ces erreurs plus tard. Voilà mon avis Général Kane, fait Daniel en fixant droit dans les yeux son ami de longue date.

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